Formation Méthode Busquet, Témoignages des 2 kinésithérapeutes Marie et Martine

Formation Méthode Busquet, Les chaines musculaires.

Témoignage de Marie , kinésithérapeute ayant terminé la formation Busquet depuis 3 ans et le témoignage de Martine qui est en cours de formation Bonjour à tous, bienvenue nous sommes ce soir au bord du lac de Neuchâtel, en Suisse, et on sort d’un séminaire pour la méthode Busquet.

On a la chance d’avoir deux participantes pour la méthode, à savoir Marie qui a fini l’ensemble de la formation et Martine qui pour l’instant, a fini les quatre premiers séminaires, à savoir la première partie. Le premier module de la formation.

Si vous voulez vous présenter brièvement

Marie : Je pratique la méthode depuis trois ans et j’avoue que cela a complètement changé ma manière de travailler. Je prends des patients sur une heure et j’ai des résultats qui sont vraiment très intéressants. Je continue à me former et à essayer d’améliorer la technique, mais toujours en rapport avec la vision des chaînes qui a vraiment changé mon travail. Les patients ont adhéré facilement à ce changement de pratique.

Martine : Je viens de Strasbourg.

J’ai fait des remplacements pendant plus de deux ans, un peu partout en France. A à chaque fois, il y avait une ou deux personnes dans le cabinet qui travaillaient avec la méthode Busquet (Formation kiné) et je me rendais compte qu’il y avait beaucoup plus de résultats et plus rapidement. Cette méthode est vraiment une autre approche. Le fait que ce soit une formation longue, mise sous deux fois trois jours, à chaque fois sur deux semaines est très bien car on ne perd jamais une semaine entière et on arrive à caler tous les patients.

C’est vraiment pratique. Du ce fait, on ne ressent pas que la formation est longue car le format est bien pensé. Le fait d’avoir séparé la formation en deux parties (deux modules) de quatre premiers séminaires de trois jours pour les chaines musculaires et les quatre suivants pour les chaînes conjonctives viscérales (où sont abordées toutes les cavités) est très bien pour les apprentissages.

Dans le premier module on aborde déjà le diaphragme, ce qui débloque quand même pas mal de choses dés le départ . Je me rends compte que même avec les quatre premiers séminaires , on peut vraiment faire pas mal de choses, pas mal de résultats satisfaisants par rapport à avant.  » Et au niveau coordination, la répartition théorique-pratique, vous convient elle? »

La partie théorique est riche, mais toujours toujours liée à la pratique. On n’a pas des tonnes de théories par rapport à cette pratique. Il n’y a pas de moments d’ennui. Le support est très bien. Les livres, notamment, sont vraiment très bien faits. François Boileau : « Je suis enseignant dans la formation. Est ce que ça vous plait qu’il y ait toute une équipe pédagogique composée de personnes différents?  »

Réponse : « C’est une richesse.

Chaque professeur a un abord complètement différent pour mettre en place des idées.

Tu as des interactions qui se font toujours plus facilement, avec des tempéraments différents, il y a toujours quelque chose à apprendre. Cela rend la formation riche humainement . »

La formation, honnêtement, au début, c’est vraiment une tout autre approche. En fait, tout est lié. On a vraiment pas l’habitude de travailler comme ça. C’est vraiment différent. Et puis aussi, pour la mise en place des patients, ils viennent pour un traitement épaule et on commence à traiter le diaphragme. Il y a des questions qui se posent après la deuxième séance, quand ils viennent et qu’ils n’ont plus de douleur à l’épaule alors qu’ils avaient mal depuis deux ans. Cette approche nous remet totalement en question dans notre pratique L’ abord de la tête aux pieds est amené de façon extrêmement ludique , facile. La manière dont cela est abordée , ça coule, c’est logique.

Formation qui développe la main sur les techniques de détente. C’est une méthode concrète qui fonctionne.